Français, Britanniques et Espagnols en lice pour un contrat de vente de frégates à l'Algérie
L'Algérie négocie actuellement avec trois pays européens – la France, l'Espagne et la Grande-Bretagne - en vue d'acquérir des frégates pour le compte des forces navales nationales, a appris toutsurlalgerie.com auprès de sources de défense. Ces acquisitions, dont le nombre n'a pas été précisé, vont permettre à l'Algérie d'amorcer la mise en place d'une véritable force navale. Actuellement, la marine algérienne est jugée parmi les moins performantes en Méditerranée.
Contrairement aux autres forces – terrestres et aériennes-, les forces navales du pays n'ont pas bénéficié du dernier programme d'achat d'armes lancé par l'Algérie en 2006 pour plusieurs milliards de dollars. Acquis essentiellement auprès des russes, les navires que possède actuellement la marine algérienne ont deux inconvénients : « ils ne peuvent être armés efficacement et pose le problème de l'interopérabilité avec la marine des pays de l'Otan », explique à toutsurlalgerie.com un spécialiste des questions militaires.
Pour renforcer ses forces navales, Alger va s'appuyer sur les pays de l'Otan, une organisation avec laquelle l'Algérie est désormais liée par un accord de partenariat stratégique. Mais contrairement aux informations publiées récemment, la France n'est pas assurée de remporter ce marché. Les Britanniques et les Espagnols possèdent également des offres jugées aussi intéressantes que les frégates françaises.
Une chose semble toutefois acquise : une fois n'est pas coutume, les Algériens ne mènent pas de négociations avec les Russes, leurs fournisseurs militaires traditionnels. La cause ? Les navires militaires russes sont jugés d'une qualité nettement inférieure à ceux de leurs concurrents des pays de l'Otan. Et depuis l'accident, le 12 août 2000, du sous-marin russe à propulsion nucléaire Koursk dans la mer de Barentz (118 victimes parmi l'équipage), la marine russe, malgré des moyens colossaux alloués par le Moscou, continue d'avoir une image négative auprès des spécialistes de la défense, privant ainsi les Russes de juteux contrats auprès de pays comme l'Algérie
مفاوضات جزائرية مع بريطانيا فرنسا واسبانيا
لاقتناء فرقاطات للقوات البحرية
لاقتناء فرقاطات للقوات البحرية
L'Algérie négocie actuellement avec trois pays européens – la France, l'Espagne et la Grande-Bretagne - en vue d'acquérir des frégates pour le compte des forces navales nationales, a appris toutsurlalgerie.com auprès de sources de défense. Ces acquisitions, dont le nombre n'a pas été précisé, vont permettre à l'Algérie d'amorcer la mise en place d'une véritable force navale. Actuellement, la marine algérienne est jugée parmi les moins performantes en Méditerranée.
Contrairement aux autres forces – terrestres et aériennes-, les forces navales du pays n'ont pas bénéficié du dernier programme d'achat d'armes lancé par l'Algérie en 2006 pour plusieurs milliards de dollars. Acquis essentiellement auprès des russes, les navires que possède actuellement la marine algérienne ont deux inconvénients : « ils ne peuvent être armés efficacement et pose le problème de l'interopérabilité avec la marine des pays de l'Otan », explique à toutsurlalgerie.com un spécialiste des questions militaires.
Pour renforcer ses forces navales, Alger va s'appuyer sur les pays de l'Otan, une organisation avec laquelle l'Algérie est désormais liée par un accord de partenariat stratégique. Mais contrairement aux informations publiées récemment, la France n'est pas assurée de remporter ce marché. Les Britanniques et les Espagnols possèdent également des offres jugées aussi intéressantes que les frégates françaises.
Une chose semble toutefois acquise : une fois n'est pas coutume, les Algériens ne mènent pas de négociations avec les Russes, leurs fournisseurs militaires traditionnels. La cause ? Les navires militaires russes sont jugés d'une qualité nettement inférieure à ceux de leurs concurrents des pays de l'Otan. Et depuis l'accident, le 12 août 2000, du sous-marin russe à propulsion nucléaire Koursk dans la mer de Barentz (118 victimes parmi l'équipage), la marine russe, malgré des moyens colossaux alloués par le Moscou, continue d'avoir une image négative auprès des spécialistes de la défense, privant ainsi les Russes de juteux contrats auprès de pays comme l'Algérie