Mégas Contrats avec l'Algérie peut reprendre
Marché algérien de l'industrie de défense russe est ouvert
26/02/2013
Andrei Frolov
L'un des ressort principal des nouvelles du monde des armes sur le marché a été l'annonce de l'acquisition de quatre frégates Algérie projet allemand Meko A-200N, la société Thyssen Krupp Systèmes Marin pour un montant de 2,886 milliards de dollars. Et, paraît-il, n'est que le début du contrat avec l'Allemagne à partir d'un package d'une valeur près de € 10 milliards approuvés par le Conseil de sécurité allemande en Juin 2011.
Grande selon les normes mondiales, le contrat pour la production de frégates ouest avec l'un des principaux partenaires russes MTC pose à nouveau la question de l'avenir des producteurs d'armes russes sur le marché algérien. Dans ce contexte, il semble nécessaire de donner une description générale de l'Algérie que le marché des armes et d'identifier les perspectives russes sur elle.
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L'Algérie a toujours été l'un des principaux acheteurs de l'URSS puis des armes russes, qui, cependant, n'ont pas empêché le pays est relativement importants achats d'armes et de l'ouest des États. Et personne n'est surpris suspendu en vertu algériens chasseurs-bombardiers, MiG-23 milliards soviéto-américaines bombes Mk.82.
Une des caractéristiques de la politique d'achat de l'Algérie était d'acquérir le plus avancé au moment de la signature des armes traitent des systèmes. Ainsi, même à l'époque soviétique, l'Algérie a été l'un des premiers pays bénéficiaires - d'un hélicoptère de combat Mi-24A, l'un des premiers il a été fourni des escortes sous-marins du projet 1159T et diesel-électriques de projet 877 EKM. Ces derniers temps, il était Algérie - départ des aéronefs étrangers opérateurs entraînement au combat Yak-130.
Collage Andrei Grizzly
Après l'effondrement de l'URSS, la portée de la coopération militaire avec la Russie, le pays a considérablement baissé. Dans les années 90, quelques priorités algériennes de sécurité ajustés et au lieu de la confrontation avec le Maroc (et dans un sens avec la Libye) en premier lieu, il y avait la menace du terrorisme islamique, dont le pays est aux prises avec 1991. Pendant cette période, au lieu d'acheter activement de nouveaux systèmes d'armes utilisés dans la CEI: le MiG-29 et T-72 tanks - Bélarus, en première ligne citernes bombardiers Su-24 et Il-78M - en Ukraine, Mi-24 / A de la disponibilité - en Russie et en Ukraine.
Certains changements ont eu lieu en 2000, quand il a été signé le premier contrat relativement importante pour la réparation et la modernisation de Russie 22 Sukhoi Su-24M. En 2002, a signé un contrat pour 42 hélicoptères Mi-171. Il était le «précurseur» d'un gros paquet de contrats pour de nouvelles armes, qui a conclu en 2005-2006 à un montant phénoménal - 7,5 milliards de dollars. Certes, il était accompagné par l'annulation de la dette de l'Algérie à l'ex-Union soviétique à hauteur de 4,7 milliards de dollars, mais l'échange de dette soviétique accroché avec des perspectives incertaines et la maturité en échange de l'achat d'armes modernes en recul, il semble justifié.
«Inertie» de ces contrats était si puissante que même à l'horizon 2011 (soit cinq ou six ans à compter de la date de signature) la part de l'Algérie dans les exportations d'armes russes représentaient 15 pour cent, soit près de deux milliards de dollars, portant ainsi le deuxième pays dans l'armée Les exportations russes après l'Inde.
Ce premier paquet comprend la livraison de 28 Su-30MKA, 34 MiG-29SMT/UBT combattants, 16 l'avion d'entraînement Yak-130, huit bataillons de S-300 PMU-2, 38 ZRPK "Shell-S1", 185 T- 90SA, deux sous-marins du Projet 636, et d'importants contrats de mise à niveau déjà fourni des équipements soviétique et l'achat de grandes quantités de haute précision des armes.
Bien que la mise en œuvre de ce paquet a été entaché l'histoire en Russie (et par conséquent les acheter au RAC "MiG" Force de l'air russe) est presque entièrement mis combattants MiG-29SMT/UBT, certains d'entre eux ont même réussi à voler pilotes algériens très activement, en fin de compte ce contrat a permis de combler 34 nouveaux avions russes de combat aérien de la Force. En raison de ce contrat à l'exportation "désastreuse" en 2009 (alors l'armée de l'air russe reconstitué 31 sur 34 "algérienne" MiG-29) détient toujours le record pour le nombre défini dans l'avion Air Force russe. Cependant, la «perte» en Algérie MiG-29 SMT a été en partie compensé par la réorganisation 16 autres Su-30MKI (A).
Mais en dépit des achats importants de la Russie, de l'Algérie dans les années 2000, a effectué la présente politique multi-vectorielle sur les fournisseurs d'armes. Attire l'attention sur ce fait - la plupart des Algériens acheté en Occident sont les modèles de matériel qui pourrait offrir à la Russie, la tendance à la hausse du coût de l'équipement acheté. Ainsi, en 2002 en Espagne a été acheté six avions légers de transport militaire C-295 (valeur d'environ $ 130 millions), alors qu'en 2009, il a été signalé à la conclusion de la compagnie megakontrakta AugustaWestland une valeur de cinq milliards de dollars, dont le total prévu procurer 55 hélicoptères légers AW109LUH, cinq polyvalente AW139 (avec une option pour 10 autres voitures), ainsi que 42 hélicoptères de transport plus AW101, y compris l'assemblage de certains d'entre eux en Algérie.
Bien qu'à ce jour, de ce nombre en fait connu de contracter seulement environ 30 hélicoptères AW109 et AW139, à l'exclusion acheté en 2007 pour six Marine EH101 et quatre Super Lynx, a tracé une nette dominance de la société anglo-italienne sur l'Algérie hélicoptères de transport . Enfin, en 2011, a signé un contrat avec la société italienne Orizzonte Sistemi Navali de construire un quai bateau d'atterrissage pour hélicoptères, ce qui devrait également servir d'alimentation du navire. Son coût est estimé à 400 millions d'euros. En 2010, a signé un contrat avec STX Europe pour la fourniture de trois remorqueurs océaniques et des sauveteurs, le prix du contrat n'est pas inférieur à 50 millions d'euros.
Marchés en Russie
En plus de ces gros contrats Algérie a acheté d'autres échantillons de l'AME, mais pas à un tel montant significatif, par exemple, 100 véhicules blindés légers Marauder développement et la production de la société sud-africaine Marauder. C'est, à ce jour, il ya une certaine «parité» dans les montants des contrats d'équipements militaires achetés à partir de l'Algérie en Russie et l'Occident. Dans ces conditions, on peut être tenté de réduire le rôle de l'Etat russe dans le marché de l'armement de l'Algérie.
Cependant, l'analyse des données disponibles indique que la situation est diamétralement opposée. Un facteur important qui peut jouer (et probablement déjà joué) pour la Russie - la situation au Moyen-Orient, mis en place après le Printemps de soi-disant arabes. Le changement de régime en Tunisie, en Egypte, en Libye et en Syrie, la lutte pour la participation active des pays occidentaux, notamment l'Italie, la France et le Royaume-Uni suggèrent que la prochaine cible après que la Syrie pourrait être l'Algérie, qui est si longue lutte interne avec les islamistes.
Dans ce contexte, les grands achats d'armes occidentales ne sont pas toujours la garantie d'immunité, qui peut être vu sur le sort du colonel Kadhafi. Enfin, l'ampleur de la croissance de la lutte Touareg pour l'indépendance et une forte probabilité d'un conflit à grande échelle régionale peut exiger des achats massifs d'armes que dans le créneau que la Russie a à offrir - des systèmes fiables et éprouvées pour l'Armée et la Force aérienne.
Cette tendance est confirmée par les informations disponibles sur les sources de la défense nationale et de la communauté algérienne. Ainsi, en 2011, a obtenu un contrat pour la fourniture Algérie deuxième lot de T-90SA à environ 180 unités dans l'option au contrat réservoir célèbre de 2006. Livraison doit être effectuée de "NPK" Uralvagonzavod "en 2012-2013. Il est considéré que pour ce contrat peut être suivie d'une autre en vue d'accroître le nombre de T-90SA moderne dans l'armée algérienne à 500. Et c'est sans compter les 250 mis à jour T-72M1M contrat d'un «paquet» de 2006. La confirmation de cette hypothèse est le fait que la fin de la modernisation de la Tula "Design Bureau instrument« 400 algériens BMP-2 à BMP-2M option et les négociations sur la conclusion du prochain contrat pour la modernisation de la BMP-2 de l'armée algérienne, probablement environ la même quantité. Looks achats logiques et continue de domestiques de haute précision des armes pour l'armée - ATGM "Kornet-E» et «Metis-M1" était probablement le début d'une ATGM nouvel appel d'offres "Chrysanthème-S» et des obus d'artillerie guidés »Krasnopol-M».
Certains articles sont stockés dans le domaine de la technologie navale. L'Algérie est susceptible d'être le premier client de lancement pour l'exportation corvette projet 20382 "Tiger", les négociations sur l'achat de ce qui est réalisé au moins trois ans. Il semble que dans la première tranche aura deux corvettes et une option pour un autre couple de navires similaires. Nous ne pouvons pas exclure une commande supplémentaire de 636 paires de projet sous-marins diesel, dont deux ont été acquis dans le cadre d'un «paquet» de 2006. La Russie a conservé le marché de modernisation navires déjà livrés, fait déjà en 2012, le contrat pour la modernisation du projet corvette 1159T et petites projet missiles antinavires 1234E, malgré la concurrence du chantier naval espagnol.
Enfin, les meilleures perspectives dans le secteur est traditionnellement prévu de l'avion. À l'avenir, l'Algérie devra trouver un remplaçant obsolète, en dépit de la modernisation des bombardiers de première ligne plus de 40 et de reconnaissance Su-24 et 18 MiG-25PD et RBSH. L'achat le plus probable regards des autres Su-30MKI (A) afin d'apporter leur nombre dans l'armée de l'air à 100-120 unités. Compte tenu de l'échec de l'achat d'un nouvel avion de combat léger face à des MiG-29 risques SMT et politique des divers pays - fabricants de combat Eurofighter, Rafale et JAS-39 Gripen, il ya des raisons de croire que ce créneau va probablement prendre un Su-35 (la première tranche peut atteindre 20 à 30 combattants) avec un autre (déjà dans les années 2020), la transition vers l'achat de chasseur de cinquième génération T-50. Les achats en gros d'appareils inévitablement l'acquisition d'aéronefs appartenant à une formation complémentaire de combat Yak-130 (environ 16 unités), et avec le développement déjà en cours sur la base du Yak-130 attaque la lumière peut compter sur des commandes et des modifications impact de l'avion, ce qui pourrait porter le nombre de Yak -130 à 50-60 unités.
L'expérience de la campagne militaire en Libye a une nouvelle fois confirmé la nécessité d'un système forts et modernes de défense aérienne. Ainsi, dans les prochaines années sont probablement l'achat des Algériens AAMS à portée intermédiaire et est susceptible d'Algérie peut être le troisième bénéficiaire de l'exportation des S-400, après la Biélorussie et la Chine, mais en 2020. Également poursuivre et l'achat de radar moderne, maintenue depuis 2009.
Enfin, la guerre de contre-insurrection en cours est de placer une demande accrue sur les hélicoptères, le stock actuel d'hélicoptères de combat Mi-24 / A et Mi-24 Mk.III déjà largement obsolète physiquement et techniquement moins. Dans ce cas, un non-remplacement regarde Algérie acheter plusieurs dizaines d'hélicoptères de combat Mi-35M et Mi-28NE. Compte tenu du fait que l'année dernière il y avait des rapports de la présence du premier client export pour le Mi-28NE est probable qu'ils pourraient être tout l'Algérie. Vous pouvez également ne pas exclure d'autres achats algériens Air Force hélicoptères de transport moyen Mi-171E, et, éventuellement, la modernisation Mi-171A2, que le contrat de 42 AW101, paraît-il, n'a pas encore été finalisé et le début ils ont été conçus pour les besoins de la police des frontières. Enfin, l'analyse des besoins de la Force aérienne du pays suggère que l'Algérie deviendra l'ordre de 10 hélicoptères de transport lourd Mi-26T.
Ainsi, même des estimations approximatives suggèrent que le marché algérien conserve son potentiel pour l'industrie de défense russe dans les années à venir et les contrats avec les industriels européens est plus un témoignage de diversifier les fournisseurs Algérie, et non pas un signe de la perte par la Russie de son marché traditionnel. En 2012, le puits peut être déclaré nouveaux contrats avec l'Algérie, avec des volumes comparables megakontraktami 2005-2006. Toutefois, le nouvel accord avec les clients algériens sont susceptibles d'être fondée sur une base différente, en particulier, l'augmentation de la proportion de programmes de compensation et l'augmentation du niveau de la localisation.
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